LaLibre - Guy Duplat - 11 octobre 2015
La belle Villa Empain, à Bruxelles, en architecture Art Déco, marie les univers de deux grands artistes d’origine arménienne.
C’est la contribution de la Villa au 100e anniversaire du génocide arménien.
RTL – « Les orages de la vie » - 6 octobre 2015
Stéphane Pauwels part à la rencontre de celui qui s'est vu décerner le titre d'artiste de variétés du siècle.
Charles Aznavour, la légende vivante, évoque le génocide arménien dans lequel fut exterminée une partie de sa famille, l'exode de ses parents, et l'existence très précaire qui fut la sienne avant que ne s'ouvrent les portes de la gloire.
Revoir l’émission sur :
http://www.rtl.be/rtltvi/video/550802.aspx?CategoryID=4315
RTL Info - 6 octobre
La plus grand exposition, inaugurée cet après-midi par le président turc Erdogan, a été baptisée "Anatolia".
Un aperçu de 12.000 ans de culture turque mais pas un mot de la civilisation arménienne.
Voir le reportage sur : http://www.rtl.be/videos/video/551445.aspx
RTL.be- 4 octobre 2015.
Le président turc Recep Erdogan est attendu en Belgique où il effectue une visite de 2 jours. Il devrait s'entretenir avec les présidents de la Commission Européenne, du Conseil et du Parlement Européens, notamment concernant la crise des réfugiés. Mais Erdogan est de plus en plus décrié.
L’avenir.net - 5 octobre 2015.
Les Arméniens de Belgique ne digèrent pas «la tribune» donnée au président turc en cette année du 100e anniversaire du génocide arménien. Ils le font savoir avec une affiche choc, notamment envoyée aux parlementaires.
Alors qu’environ 3 000 personnes se sont rassemblées hier soir place Stéphanie pour accueillir le président de la république de Turquie Recep Tayyip Erdogan, en visite à Bruxelles pendant 2 jours, l’Association des Arméniens Démocrates de Belgique réitère ce matin sa déception de voir le gouvernement belge mettre à l’honneur «sans scrupule un président négationniste avec des relents dictatoriaux, d’un état négationniste qu’est La Turquie» et de lui offrir «une tribune prestigieuse qu’est l’Europalia 2015».
LaLibre.be. Par M.U. & Gilles Toussaint - dimanche 04 octobre 2015
Europalia Turquie, que le président Recep Tayyip Erdogan inaugurera à Bruxelles, n’est pas au goût de tous, et notamment des minorités qui peuplent le territoire turc.
Arméniens, Assyro-chaldéens, Syriaques-araméens, Grecs pontiques, ainsi que différentes organisations juives dont le CCOJB, ont dénoncé ce festival qui risque, selon eux, de ne proposer qu’une "lecture falsificatrice de l’histoire" et de "masquer le centenaire des génocides".
Le trimestriel Ensemble!, dans son numéro de Septembre 2015 a consacré 12 pages au négationnisme turc en Belgique. Après deux articles d'Arnaud Lismond-Mertes (CSCE) sur le sujet, la revue donne la parole à Boghos Mouradian, porte-parole de l'Association des Arméniens démocrates de Belgique, et à Dogan Özgüden, rédacteur en chef d'Info-Türk.
Ces articles se trouvent dans les pages 28 à 40 du trimestriel : http://www.asbl-csce.be/journal/Ensemble88.pdf
Par François Janne d’Othée, Le Vif/L'Express, 2 octobre 2015.
En adoubant la Turquie comme hôte du 25e festival Europalia, les autorités belges se sont mis à dos les Arméniens de Belgique. Mais pas seulement.
Tout cela au nom de la realpolitik, surtout économique.
C’est un hôte controversé qui s’apprête à couper le ruban du 25e festival culturel Europalia consacré à la Turquie : l’autoritaire président turc Recep Tayyip Erdogan inaugurera, le 6 octobre au côté du roi Philippe, la grande exposition Anatolia au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles.
La Capitale – 27/12
Une exposition-rencontre de deux artistes de la culture arménienne contemporaine, Sergueï Paradjanov et Sarkis, se tient actuellement et jusqu'au 24 janvier 2016 à la Villa Empain (Ixelles) dans le cadre de la commémoration du centenaire du génocide arménien.
Considéré comme un des cinéastes majeurs du cinéma moderne, Sergueï Paradjanov, né en 1924, s'est fait connaître en 1964 par son film Les Chevaux de feu. Mais c'est Sayat Nova, réalisé en 1968, consacré à la vie du poète arménien, qui affirme son écriture personnelle, poétique et allégorique.
Reportage RTBF - 7 à la Une – 19/09/2015
Une équipe de journalistes belges s’est rendue en Syrie (Damas, Lataquié et Kessab) à l’invitation de la communauté arménienne du pays.
Pour voir le reportage, cliquer ICI
RTBF Transversales - 12/09/2015
Reportage au sein de la communauté arménienne de Syrie, à Kessab, à la frontière turque.
Les habitants y sont revenus après avoir été chassés par des rebelles
Pour réécouter l’émission : http://www.rtbf.be/radio/player/lapremiere?id=2042433&e=
"France-Arménie" septembre 2015 - Propos recueillis par Anne-Marie Mouradian
Georges Dallemagne dirigeait l’équipe de Médecins sans frontières en Arménie à l’époque du séisme de 1988. Il a été sur terrain au moment du génocide au Rwanda, ainsi qu’à Srebrenica. Aujourd’hui député fédéral cdH (Centre démocrate humaniste), il se bat pour alerter ses concitoyens sur le sort des Chrétiens d’Orient et pour la reconnaissance du Génocide des Arméniens et autres minorités de l’Empire ottoman.
France Arménie: Vous avez jugé la résolution sur la commémoration du Génocide des Arméniens insuffisante et peu claire. Que proposiez-vous ?
J’avais été approché au départ par la Fédération araméenne.
Lalibre.be - Ch.Ly - lundi 07 septembre 2015
Voir la vidéo ICI
"On était en paix, on travaillait, on ne pensait pas que cela allait arriver Hartyin Moses, un cordonnier de 43 ans, n’en revient toujours pas que la guerre ait pu toucher son pays, la Syrie.
Les officiels de Damas parlent de la "crise" syrienne, mais pour cet Arménien, c’est bien de guerre, de bombardements et d’attentats qu’il s’agit.
Le Monde.fr - 03.09.2015 - Par Marie-Aude Roux
Alain Altinoglu sera-t-il enfin le bon ? Après une année de vacance depuis le départ fracassant de Ludovic Morlot en décembre 2014, le Théâtre de la Monnaie vient d’officialiser la nomination du chef d’orchestre parisien à la direction musicale de la maison d’opéra bruxelloise, à partir de janvier 2016.
A presque 40 ans (il est né à Alfortville, dans le Val-de-Marne, le 9 octobre 1975), le Français d’origine arménienne, formé au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, ajoute un nouveau défi à une carrière déjà bien remplie.
LaLIbre.be - Ch.Ly. - jeudi 03 septembre 2015
Le député fédéral Georges Dallemagne (CDH), de retour ce jeudi matin de Syrie, suggère que la Belgique change « le disque dur » de sa politique d’accueil des réfugiés et octroie beaucoup plus de visas humanitaires, temporaires.
"Le visa humanitaire permet d’identifier les personnes les plus vulnérables, fait en sorte que les réfugiés soient accueillis par des communautés locales, et non pas à charge de l’Etat, et puissent un moment rentrer chez eux", a-t-il dit à la presse.
Le Soir – 02/09/2015
Alain Altinoglu, l’un des chefs d’orchestre français les plus demandés par les grandes scènes lyriques mondiales, a été nommé à 39 ans directeur musical de La Monnaie de Bruxelles, a annoncé mercredi la prestigieuse salle d’opéra de la capitale belge.
Le chef d’orchestre d’origine arménienne, né en 1975 à Paris, prendra ses fonctions à Bruxelles en janvier 2016, a précisé La Monnaie dans un communiqué.
LaLibre.be - Nicolas Blanmont - mercredi 19 août 2015
Musique / Festivals L’air de rien, Vardam Hovanissian et Emre Gultekin en disent ensemble les vertus. Adana, c’est une ville de Turquie qui a subi de plein fouet la tragédie du génocide arménien il y a un siècle. "Adana", c’est aussi le titre du premier disque en commun de Vardam Hovanissian et Emre Gultekin, paru au printemps dernier mais un peu occulté par les évocations du centenaire du génocide.
La réunion de deux musiciens qui sont également des figures connues de leur communauté. L’un, Arménien, maître réputé du doudouk - instrument à vent à anche double dont le chant dit si bien la mélancolie - et l’autre, natif de La Louvière mais formé aux subtilités du saz turc - instrument à cordes pincées - auprès de son père, le musicien et poète Luftu Gultekin. Turc, tout simplement, Gultekin ? Quand on lui pose la question de son identité, le musicien réfléchit longtemps. "Je me définis parfois comme un extraterrestre. Mes origines turques sont multiples : dans la génération de mes grands-parents, il y a des Turcs, des Kurdes, des Arméniens… Cela fait beaucoup d’identités ! Et puis je suis né en Belgique !"
RTBF - Face aux livres - Série de 4 émissions autour du génocide arménien et de la chute de l'empire ottoman, il y a 100 ans, en plein coeur de la 1ère guerre mondiale.
28/07/2015 : dans un 1er numéro avec le géopolitologue Gérard CHALIAND, nous allons essayer de situer toute l'histoire et la trajectoire de ce grand empire. L'empire ottoman dont on parle souvent mais dont on nous raconte peu. Pour réécouter l’émission, cliquer ICI
29/07/2015: Où en était-on dans le conflit mondial? Que savait-on de ce qui se passait ? Quelles étaient les puissances en conflit ? Qui avait intérêt à faire quoi et à ne pas savoir, et éventuellement à fermer les yeux? Avec Yves TERNON, historien et spécialiste des génocides et Michel UDIANY, professeur d’Histoire. Pour réécouter, cliquer ICI
30/07/2015: Des témoignages d'héritiers arménien, turc et grec pontique de cette catastrophe. Avec Grégoire JAKHIAN, avocat et président de l'Assemblée des Arméniens de Belgique, Christos DOULKERIDIS, député bruxellois Ecolo, ancien ministre et petit-fils de déplacés ou expulsés grecs du Pont et Cengiz AKTHAR, professeur de sciences politiques et chercheur Senior au Istanbul Policy Center. Pour réécouter cliquer ICI
LeVif.be - source BELGA - 24 juillet 2015
La communauté arménienne de Belgique n'est pas satisfaite de la résolution de la majorité parlementaire sur la commémoration du génocide arménien, adoptée jeudi soir à la Chambre.
La communauté arménienne de Belgique déplore notamment l'ambiguïté du texte en particulier dans le paragraphe 2
BELGA/ LaLibre.be – 23 juillet 2015
La Chambre a approuvé jeudi la résolution de la majorité parlementaire sur la commémoration du génocide arménien. Le texte a recueilli l'unanimité moins 8 abstentions dans l'opposition. Les députés qui se sont abstenus se sont justifiés en invoquant un texte trop faible. Le point central de ce débat qui a agité la classe politique francophone porte sur la reconnaissance par la Belgique du génocide qui s'est produit il y a un siècle.