Les 18 et 19 octobre 2023, des hommes d'affaires belges représentant les domaines de la pharmacie, de la construction, de l'électronique et du recyclage se sont rendus en Arménie à l'invitation de L'Agence wallonne à l'exportation et aux investissements étrangers et de la Chambre de commerce belgo-arménienne.
A cette occasion, l'agence de presse Armenpress a convoqué une conférence de presse à laquelle ont participé Eric de Muynck, ambassadeur de Belgique en Arménie, Valery Safarian, président de la Chambre de commerce belgo-arménienne, et Eric Bletard, conseiller en investissements de l'Agence wallonne à l'exportation et aux investissements.
DÎNER FESTIF À L’OCCASION DU 33E ANNIVERSAIRE DE L’INDÉPENDANCE DE LA RÉPUBLIQUE D’ARMÉNIE - ՏՈՆԱԿԱՆ ԸՆԹՐԻՔ ՀԱՅԱՍՏԱՆԻ ՀԱՆՐԱՊԵՏՈՒԹՅԱՆ ԱՆԿԱԽՈՒԹՅԱՆ 33-ՐԴ ՏԱՐԵԴԱՐՁԻ ԱՌԹԻՎ
Le samedi 21 septembre à 19h Le 21 septembre prochain, le Comité vous donne rendez-vous au Hay Doun pour célébrer ensemble comme il se doit le 33e anniversaire de la République d’Arménie.
Au programme, une soirée conviviale ponctuée de danses et de musique, autour d’un beau buffet. Ne manquez pas cette belle soirée !
Pour plus d’infos contactez le Comité via
Տոնական ընթրիք Հայաստանի Հանրապետության անկախության 33-րդ տարեդարձի առթիվ
Սեպտեմբերի 21-ին Կոմիտեն հրավիրում է Ձեզ Հայի Տուն՝ միասին նշելու Հայաստանի Հանրապետության անկախության 33-րդ տարեդարձը։ Ծրագիր. բարեկամական համեղ ընթրիք լի պարային և երաժշտական համարներով ։ Բաց մի թողեք այս գեղեցիկ երեկոն։ Լրացուցիչ տեղեկությունների համար դիմել Կոմիտեի էլ. հասցեով
Le saviez-vous ? Vous pouvez apprendre l’arménien ancien en Belgique, à l’Université Catholique de Louvain !
Voici notre interview avec Emmanuel Van Elverdinghe, le nouveau professeur de langues et cultures de l’Orient chrétien à l’UCLouvain depuis le 1er septembre 2024
- L’Université catholique de Louvain dispense des cours d’arménien ancien. Quelle chance ! Peux-tu nous expliquer de quoi il s’agit ?
Les cours sont axés sur l’apprentissage de la langue (le « grabar »), dans un premier temps, le but étant de passer dès que possible à la lecture de textes anciens et médiévaux. Au total, un étudiant peut suivre jusqu’à quatre années de cours et aborder, par exemple, des passages de la Bible et des grands historiens, théologiens et poètes arméniens, mais aussi déchiffrer les inscriptions qui recouvrent les murs des monastères, étudier les anciennes traductions arméniennes d’auteurs grecs, et j’en passe. En fait, cela dépend des étudiants : en master, ce sont eux qui choisissent les textes, en fonction de leur projet d’études ou des sujets qui les passionnent. La lecture de ces œuvres est l’occasion de se perfectionner en arménien, mais aussi de comprendre en profondeur l’histoire et la culture de l’Arménie. À côté de cela, il existe également des cours plus généraux, accessibles à ceux qui ne connaissent pas l’arménien : les étudiants y découvrent l’Arménie historique et son contexte, c’est-à-dire le Caucase et le Proche-Orient médiéval.
- Après l’éméritat du Professeur Bernard Coulie, que nous connaissons bien, tu seras désormais en charge de ces études. Quelle est ta vision et quels sont tes projets dans ce nouveau rôle ?
L’UCLouvain et les études arméniennes doivent beaucoup à Bernard Coulie, et c’est un immense honneur pour moi de succéder à celui qui m’a non seulement appris le métier de chercheur mais aussi transmis sa passion pour l’Arménie. J’espère pouvoir communiquer à mon tour cette passion à de nouvelles générations d’étudiants et cimenter encore plus la place de Louvain-la-Neuve comme centre de référence en études arméniennes au niveau international, notamment en y faisant venir des chercheurs étrangers. Mon intention est d’abord de mettre sur pied des projets de recherche sur les manuscrits arméniens et la transmission du savoir en Arménie médiévale, mes spécialités. Le but : mieux comprendre comment les textes anciens ont pu survivre et évoluer jusqu’à nos jours, grâce à leurs scribes, lecteurs, commentateurs, illustrateurs... dont le dynamisme et la créativité forcent l’admiration, si on songe aux conditions historiques et matérielles souvent terribles dans lesquelles ils devaient travailler. À côté de cela, j’ai aussi la chance d’enseigner le géorgien ancien, la littérature grecque byzantine et l’histoire des communautés chrétiennes de l’Orient, ce qui donne une opportunité unique pour étudier les interactions et échanges entre les Arméniens et leurs voisins durant le Moyen Âge.
- L’étude des textes anciens connait des évolutions importantes avec le développement des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle. Où en est-on actuellement ? Faites-vous usage de ces technologies à l’UCLouvain ?
Tout cela se développe à une rapidité incroyable. En fait, la faculté de lettres de Louvain a toujours été pionnière dans le domaine des nouvelles technologies appliquées aux textes anciens, depuis l’époque où les ordinateurs fonctionnaient avec des cartes perforées et des bandes magnétiques, il y a « à peine » un demi-siècle... Aujourd’hui, nous participons au développement de modèles d’analyse de textes par l’intelligence artificielle, via l’apprentissage automatique par réseaux de neurones et en exploitant les nouvelles possibilités offertes par les large language models, comme le fameux ChatGPT. Tout cela, nous l’appliquons aux langues anciennes et orientales (le grec, l’arménien, mais aussi le syriaque, le géorgien, etc.) dans le but de rendre les textes navigables en ligne et exploitables par d’autres chercheurs. Le grand défi, actuellement, est de concilier puissance et exactitude : l’intelligence artificielle est capable de traiter du texte massivement à une vitesse inédite, mais avec un taux d’erreur non négligeable sur des langues « rares » comme l’arménien ancien. Or pour un linguiste, chaque détail compte et 1 % d’erreur est déjà intolérable. C’est là que la longue expérience de l’UCLouvain s’avère inestimable, puisque nous avons accumulé une masse de données vérifiées par des spécialistes, qui nous aident maintenant à développer des méthodes de traitement toujours plus efficaces sans renoncer en rien à la rigueur scientifique.
- En quoi l’étude de l’arménien ancien est-elle particulièrement intéressante par rapport à d’autres langues anciennes ?
L’apprentissage d’une langue ancienne, c’est comme un voyage dans plusieurs dimensions : dans le temps, dans l’espace, et dans la pensée. L’objectif n’est pas d’apprendre à communiquer, mais à s’imprégner d’un univers tout à fait différent du nôtre, et la porte d’entrée vers cet univers, ce sont les écrits. Cela nous plonge dans une façon de penser différente et parfois déstabilisante, que ce soit par le fonctionnement de la langue ou par les références culturelles. Ce qui est fascinant avec l’arménien ancien, c’est que dès la création de l’alphabet au début du Ve siècle, c’est toute une littérature de très haut niveau qui surgit en quelques décennies à peine. Dans ces textes comme dans la langue, on voit se rencontrer et parfois s’affronter les influences de la Perse, de la Grèce, de Rome, du paganisme, du zoroastrisme, du christianisme… tout cela sans jamais supplanter une identité arménienne déjà très forte, qui se nourrit au contraire de ces contacts pour s’affirmer davantage. Et puis, l’arménien est une langue ancienne moins courue que le latin ou le grec, pour citer les plus célèbres : cela veut dire qu’il y a encore beaucoup à découvrir. D’ailleurs, bien souvent, les textes que nous étudions au cours n’ont jamais été traduits en français, ou alors cette traduction date d’il y a 150 ans...
- Un message aux (futurs) étudiants qui se posent des questions sur leur choix d’études ?
Faites avant tout ce qui vous passionne. On a tendance à beaucoup insister sur les débouchés professionnels des études, et c’est vrai que c’est un aspect primordial, mais dans le monde où nous vivons aujourd’hui, cette formation initiale n’est plus aussi déterminante qu’auparavant. Il y a plusieurs raisons à cela ; entre autres, parce que les carrières linéaires sont de moins en moins la norme, tandis que les connaissances spécialisées tendent maintenant globalement à s’acquérir au cours de la vie professionnelle. Bien sûr, si vous avez le projet d’exercer un métier précis, visez le diplôme qui y donne accès, surtout s’il s’agit d’une profession réglementée. Mais on peut très bien obtenir un diplôme de lettres et faire carrière dans la finance, par exemple. Cela s’explique par ce que l’on appelle les « compétences transversales » : capacités de réflexion, d’analyse, de synthèse, résolution de problèmes complexes, travail collaboratif, expression écrite et orale, gestion du temps et du stress, etc. Ces aptitudes essentielles, valables tout au long de la vie, chaque cursus permet de les développer à sa façon ; n’ayez donc pas peur de sortir des sentiers battus et prenez plaisir à relever ce défi des études supérieures en vous formant dans un domaine qui vous motive !
Plus d’infos sur Armenian B (uclouvain.be)
La communauté arménienne de Belgique célèbre cette année son centenaire. Il s’agit d’une occasion exceptionnelle pour mettre en lumière la communauté, son parcours, ses réalisations et sa situation actuelle.
Nous avons le plaisir de vous informer que notre compatriote Liana Davtyan a été nommée au Conseil municipal de la commune de Malines, suite à la démission de Vicky Vermarcke de ses fonctions de conseillère municipale et d'échevine. Ainsi, Liana est la première conseillère d'origine arménienne à siéger au Conseil communal de Malines. Auparavant, Liana avait été présidente de Jong VLD Malines. Nous la félicitons pour sa nouvelle fonction et lui souhaitons beaucoup de succès dans sa carrière politique.
CAB
L’Ambassadrice d’Arménie auprès de l’UE et de la Belgique dresse un bilan de ces trois années à Bruxelles, marquées par l’actualité brûlante au Karabagh.
PAR ANNE-MARIE MOURADIAN
C'est avec une profonde tristesse que nous vous faisons part du décès de Madame Josane Kalantarian, "Maya" pour ses intimes.
Née à Ixelles à Bruxelles le 15.03.1928, elle s’est éteinte le 20.08.2023.
Par Anne-Marie Mouradian
En 2023, l’Egyptologie belge célèbre son centenaire. Et la communauté arménienne de Belgique souffle ses cent bougies. Que peut-il y avoir de commun entre ces deux événements si dissemblables ?
Le lien est incarné par deux hommes. Jean Capart, le père de l’Egyptologie belge, créateur en 1923 de la Fondation Egyptologique Reine Elisabeth de Belgique, était sensible à la cause arménienne. Arpag Mekhitarian qui lui succéda comme Secrétaire général de la Fondation était une figure de notre communauté qu’il présida de 1986 à 1990.
Le dimanche 19 février 2023, CAB Youth a organisé un échange de livres en l'honneur de l'anniversaire du célèbre poète Hovhannes Tumanyan (1869-1923). Depuis 2008, la "Journée du don de livres" est célébrée chaque année en Arménie durant lequel les gens s'offrent des livres. A l'évènement que les jeunes du CAB ont organisé à la Bibliothèque arménienne de Bruxelles, les participants ont d'abord visionné quelques vidéos sur le poète Tumanyan. Ils ont ensuite été jumelés de manière aléatoire et ont pu échanger leurs livres. Ils ont présenté les livres qu'ils avaient apportés et discuter de la littérature.
11h00 – Cérémonie sur le thème La résurection des Martyrs de tous les temps , rue Kindermans 1A à 1050 Ixelles
12h30 - Cérémonie officielle devant le Mémorial place Henri Michaux (parc Tenbosch) à 1050 Ixelles
14h00 - Marche au départ de la cathédrale Saints Michel et Gudule
19h15 - Soirée commémorative au Hay Doun, Rue du Gaz 83, 1020 Laeken
24 avril 2023 - La communauté arménienne de Belgique a commémoré hier le 108e anniversaire du génocide arménien.
Les événements commémoratifs ont commencé dans l’église apostolique Arménienne Sainte-Madelaine à Bruxelles par un hommage, après quoi les participants ont marché vers le stèle (Khatchkar) dédiée à la mémoire des victimes du génocide arménien de 1915, située sur la place Henri Michaux.
Communiqué du Collectif belge pour la prévention des crimes de génocide et contre les négationnismes
Alerte au nettoyage ethnique annoncé en Azerbaïdjan
Le Collectif belge pour la prévention des crimes de génocide et contre les négationnismes exprime sa plus vive inquiétude au sujet du blocus du Haut-Karabakh et appelle le gouvernement belge à intervenir pour y mettre fin. Alors que le statut de ce petit territoire est encore en négociation, il semble que le gouvernement de l’Azerbaïdjan compte régler ce problème territorial par le nettoyage ethnique de la population arménienne du Karabakh.
A l'initiative conjointe de CAB (Comité des Arméniens de Belgique - Comité van Armeniërs van België), EAFJD (European Armenian Federation for Justice and Democracy) / CDCA Belgique (Comité de Défense de la Cause Arménienne), et A.A.D.B (Association des Arméniens démocrates de Belgique), une 𝐌𝐀𝐍𝐈𝐅𝐄𝐒𝐓𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 aura lieu le 19 décembre 2022 à Bruxelles (rue de la Loi, près du rond-point Schuman), à 13H00.
Depuis 12 décembre, l'Azerbaïdjan continue à bloquer le corridor de Latchine, la seule voie d'accès en Artsakh. En coupant aussi l'approvisionnement en gaz de l'ensemble du territoire de l'Artsakh, l’Azerbaïdjan vise à provoquer une catastrophe humanitaire pour la population arménienne. En ce moment-même, les Arméniens se retrouvent sans gaz, et sans possibilité de transporter de provisions alimentaires ou/et de matériel médical. Les malades graves ne peuvent pas être transférés vers les hôpitaux d’Arménie.
Depuis le 12 décembre, suite au blocage par l'Azerbaïdjan du corridor de Latchin (la seule route reliant l'Artsakh à l'Arménie), une catastrophe humanitaire débute en Artsakh.
Dans ces circonstances, sur le plan médical la situation devient plus préoccupante que jamais, car il n'y a aucun moyen de transfert entre Artsakh et Arménie et l'aide médicale non disponible sur place ne peut pas être reçue. Le transfert de produit est interrompu, ce qui laisse des dizaines de milliers de patients sans médicaments ni matériel médical appropriés.
Des patients hospitalisés, dont beaucoup sont dans un état grave, des enfants, des personnes âgées et des personnes handicapées, attendent l'aide de médecins dans les hôpitaux d'Artsakh. Mher Musayelyan, directeur médical de l'Hôpital républicain de Stepanakert, signale plusieurs patients dont la vie sera en danger s'ils ne sont pas transportés dans les plus brefs délais à Erevan pour une assistance médicale appropriée.
Au nom du Comité des Arméniens de Belgique et de son président, M. Robert Unusyan, dont j’ai l’honneur d’être l’interprète, je remercie Madame la présidente de la Chambre des Représentants de son invitation. Je remercie aussi la Chambre d’avoir, sur l’heureuse initiative de M. le député Michel De Maegd, institué en ce jour historique cette commémoration.
Ce 8 décembre, le comité des Arméniens de Belgique a organisé son premier événement dont le but était de présenter le nouveau comité et de créer une plateforme où les membres de la communauté peuvent discuter autour d’un verre, échanger des idées et, pourquoi pas, faire connaissance avec d’autre membres de la communauté.
Sur base des réactions, nous pouvons dire que l'événement était attendu et que nous avons réussi à répondre aux attentes des gens. La preuve en images ci-dessous. Nous espérons que ces rencontres seront régulières et n’hésitez pas à laisser un petit commentaire pour nous dire vos impressions et suggestions, ainsi qu’à partager ces photos sur les réseaux sociaux.
. L’ensemble des photos vous trouverez ici.
L'Assemblée des représentants de la communauté arménienne de Belgique a désigné 12 membres du Comité des Arméniens de Belgique (CAB), qui est son organe exécutif.
Bruxelles - 12 juin 2022 - La Commission Electorale a procédé au dépouillement des votes ce samedi 11 juin 2022 au Centre Socio-Culturel Arménien de Belgique.
Plusieurs membres d’associations arméniennes de Belgique ont pu assister en tant qu’observateurs les membres de la Commission Electorale lors du dépouillement des votes.
La participation totale s’est élevée à 1.457 électeurs. Malgré les difficultés causées par une défaillance partielle de la poste, le vote par correspondance a été privilégié étant donné que 1.026 électeurs ont choisi ce mode de participation.
Chers électeurs et électrices,
Aujourd’hui vous étiez nombreux à vous déplacer dans les différents bureaux de vote pour participer aux élections communautaires. Un grand nombre d’électeurs sont également allés voter par courrier.
Cependant, en raison de retards considérables dans la distribution du courrier, une partie des votes envoyés par courrier ne nous est pas encore parvenue. Pour les mêmes raisons, certains électeurs ont également reçu leur propre convocation trop tard pour pouvoir expédier leur vote avant le 2 juin. Ces retards imputables à la poste ont été encore aggravés par la grève générale du 31 mai.
En conséquence, la commission électorale a pris la décision d’accorder un délai supplémentaire, jusqu’au 10 juin à minuit, pour permettre aux votes postaux d’arriver à leur destination.
Les bulletins de vote arrivés trop tard à leurs destinataires peuvent également encore être déposés au Hay Dun ou dans les autres bureaux de vote jusqu’au vendredi 10.
La commission électorale procédera au comptage des votes le samedi 11 juin, dans les conditions prévues par les statuts.
Les résultats des élections seront annoncés dès la fin du comptage.
Nous remercions chacun pour sa patience. Pour toute information supplémentaire, contacter:
La Commission Electorale 2022
Les bulletins de vote ainsi que l'explication de la procédure de vote ont été envoyés à l'adresse postale de chaque électeur. Cependant, si vous êtes inscrit mais n’avez pas reçu votre bulletin de vote, vous pouvez néanmoins voter le 5 juin en vous présentant à l’un des bureaux de vote suivants entre 10 et 17h:
Bureaux de vote:
- Bruxelles : Rue du Gaz 83, 1020 Bruxelles
- Mechelen : Nijverheidstraat 45, 2800 Mechelen
- Zaventem : Imperiastraat 14, 1930 Zaventem
Le bulletin de vote vous sera remis dans le bureau de vote de votre choix après vérification de votre inscription et après présentation sur place d'une pièce d'identité.
Si en revanche vous avez bien reçu votre bulletin de vote, vous pouvez soit voter à l'une de ces adresses, soit voter par correspondance. ATTENTION : les votes par correspondance doivent être expédiés le 2 juin au plus tard !
Pour plus d’information sur les élection et sur les candidats :
Elections communautaires 2022 (armencom.be)
En espérant que vous prendrez part au vote,
Nicolas Tavitian, Président du Comité des Arméniens de BelgiqueLa Fondation Boghossian a une nouvelle fois apporté son soutien fidèle et amical à une cause juste, et c’est bien le cas de le mentionner en l’espèce.
A l’occasion de la commémoration du 107ème anniversaire du génocide des Arméniens, elle a organisé le 21 avril 2022, dans son cadre prestigieux, la projection d’un exceptionnel documentaire intitulé Les Justes turcs. Un trop long silence, réalisé par Laurence d’Hondt et Romain Fleury. Un débat en présence des deux réalisateurs et de Grégoire Jakhian s’en est suivi, excellement modéré par Gaïdz Minassian venu de Paris pour l’occasion.